
En Norvège, Capcom est perçu comme un développeur historique ayant marqué l'industrie du jeu vidéo grâce à des franchises comme Resident Evil et Street Fighter. Cependant, cette reconnaissance est entachée par des critiques récurrentes concernant leur manque d'originalité dans les nouvelles productions et une tendance à recycler d'anciennes idées au lieu d'innover. De plus, certains consommateurs norvégiens pointent du doigt des pratiques commerciales jugées agressives, notamment des stratégies de monétisation qui peuvent être perçues comme exploitant les joueurs. Globalement, Capcom est respecté mais aussi confronté à une certaine désillusion de la part de sa base de fans locale.
Les discussions les plus critiques semblent émerger des médias spécialisés dans le jeu vidéo en Norvège, tels que les portails de critiques et forums locaux où les consommateurs expriment leur frustration. Ces sources mettent en avant le décalage entre la réputation historique de Capcom et ses récentes productions. Les critiques sont moins présentes dans les médias généralistes, qui tendent à souligner leur importance dans l'industrie sans approfondir les défauts. Ainsi, les canaux spécialisés sont le lieu principal des débats les plus durs.
Les discussions récentes en Norvège autour de Capcom tournent principalement autour de la stagnation créative, de la qualité variable des nouveaux jeux, et des méthodes agressives de monétisation, notamment les DLC et microtransactions.
Ces sujets émergent en raison des attentes élevées des joueurs norvégiens envers les producteurs de jeux vidéo, leur sensibilité à l'innovation et leur méfiance croissante envers les pratiques commerciales perçues comme abusives, ce qui impacte directement la perception de Capcom.
Répartition détaillée du sentiment public et des conversations sur cette entité.
Voyez comment le pourcentage d'impact élevé de chaque entité se rapporte à leur pourcentage de sentiment positif à partir de mentions réelles.





