Le Financial Times est souvent critiqué en Norvège pour son manque de pertinence face aux réalités économiques locales. Les Norvégiens estiment que le journal se concentre excessivement sur les grandes entreprises et les marchés globaux, négligeant ainsi les spécificités du marché norvégien. De plus, certains lecteurs trouvent que son ton peut être trop élitiste, rendant son contenu peu accessible pour le citoyen moyen. En conséquence, la confiance dans le Financial Times en tant que source d'information pour la Norvège est compromise, bien qu'il soit respecté dans le domaine de la finance internationale.
Les discussions critiques autour du Financial Times se trouvent principalement dans les médias norvégiens et les forums économiques, où les lecteurs expriment leur frustration face à l'absence d'analyse locale. Les sources norvégiennes comme Aftenposten et Dagens Næringsliv soulignent souvent cette déconnexion, en contrastant le contenu du Financial Times avec des préoccupations plus locales et pertinentes pour le pays. Les commentaires des lecteurs sur les réseaux sociaux reflètent également un sentiment d'inaccessibilité et d'élitisme envers le journal.
Les sujets émergents autour du Financial Times incluent l'impact des fluctuations du marché international sur l'économie norvégienne et les préoccupations croissantes concernant la durabilité et la transition énergétique en Norvège.
Ces sujets sont discutés car ils touchent directement aux intérêts économiques norvégiens, et le Financial Times, avec son orientation mondiale, pourrait être perçu comme n'apportant pas suffisamment d'éclairage sur ces enjeux cruciaux pour le pays.
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